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Un livre écrit par Alain LEDAIN et Eric LEMAÎTRE
Quatrième de couverture
« Un principe intangible existe et gouverne la création : la différence des sexes, la différence entre la masculinité et la féminité. Les rôles et les fonctions joués par l’homme et la femme devaient l’être en complémentarité et en solidarité, l’homme et la femme ayant été créés l’un à côté de l’autre, en vis-à-vis.
Or tentative est faite, sur un plan sociétal, d’introduire une vision niant la réalité des différences. »
Peut-on vraiment choisir entre le masculin et le féminin ? Que sont les théories du genre et dans quels contextes se sont-elles développées ? Doit-on les craindre, et peut-on prévoir quelles seront leurs conséquences sur notre société ?
En exposant les différentes théories du genre et en les confrontant à ce que la Bible enseigne, Eric Lemaître et Alain Ledain reviennent sur la vision de l’homme et de la femme et de la famille dans la conception judéo-chrétienne.
Une réflexion riche sur le féminin et le masculin, sur le mariage et la famille, qui fait l’éloge de la différence et de la complémentarité.
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Pierre-Yves Gomez, économiste, directeur de l’Institut français de gouvernement des entreprises est également l'un des initiateurs du Courant pour une Ecologie Humaine. La vidéo ci-dessous révèle un chrétien authentique et engagé.
Pierre-Yves a initié et développé les parcours Zachée...
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Rendez-vous à l'adresse http://www.ethiquechretienne.com/meditation-sur-le-temps-et-l-ennui-a112481268
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Un texte écrit par Alain LEDAIN
Cliquer ici pour le télécharger au format PDFIl est inspiré du livre de Chantal DELSOL, Les pierres d’angles – A quoi tenons-nous ?, paru aux éditions du Cerf, © 2014
« L’espérance est un risque à courir, c’est même le risque des risques. » Georges BERNANOS
Aborder le thème de l’espérance peut sembler bien inapproprié dans une période de désillusion, de désenchantement, de désespérance. Il est vrai que les espérances politiques par exemple ont apporté, et apportent encore, bien des déceptions. Alors, par peur d’être de nouveau déçus, beaucoup de nos contemporains préfèrent mettre leur ardeur au service de petites affaires afin de se calmer des grandes[1] : La recherche du bien-être prévaut sur celle du Bien commun. C’est ainsi que l’on assiste au développement du matérialisme avec sa course effrénée au confort et à la sécurité.
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Un texte écrit par Eric LEMAITRE
Préambule
Le changement de paradigme vertigineux des valeurs fondées sur la solidarité, la famille, le glissement vers les valeurs technicistes, individualistes, libertaires, consuméristes, matérialistes et narcissiques amènent des crises profondes et quasi endémiques dans les dimensions civiques, sociales, économiques, sociétales, écologiques.
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Gender et transhumanisme, une vision totalitaire de l’homme
La conquête contemporaine de l’Eden « Vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal »
Le récit du livre de la Genèse relate un événement qui semblerait bien à ce jour transcender la dimension de la légende ou du mythe dans lequel la bien-pensance matérialiste et conformiste aimerait enfermer ce passage qui fait sans doute partie d’une des dramaturgies mémorables liée à la culture de l’humanité.
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Un texte d'Eric LEMAITRE
Une menace de plus sur la liberté de transmettre
Il est frappant de noter ce souffle, cette volonté de repenser la société, de lui imposer de nouvelles règles comme pour recadrer ce qui a fondé sa culture et ses valeurs. Il est également étonnant d’observer cette pugnacité, cette combativité à laquelle s’emploie les pouvoirs publics pour installer de nouveaux codes éthiques, une morale, des valeurs républicaines.
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Un article d'Eric LEMAITRE
Zygmunt Bauman essayiste et sociologue a écrit un essai intitulé La vie liquide, un titre énigmatique nous en conviendrons. Le titre apparemment mystérieux est expliqué au fil des pages. Pour l’auteur, la vie liquide se caractérise à travers des êtres humains qui perdent tout repère, toute attache. Notre humanité selon l’essayiste est entrée dans un monde de confusion sans repères. Je cite l’essayiste : La spécificité essentielle de la société contemporaine est son caractère « liquide », c’est à dire : flexible, précaire, soumise à une évolution effrénée et perpétuelle, et dépourvue de « poteaux indicateurs » stables » solidement amarrés en quelque sorte, ou de phares susceptibles de guider les hommes en quête de vérité.
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Un texte de Jean L'Amandier
Dans certaines situations légitimes, nous pouvons contester tout comme entrevoir les limites des notions d’autorité et d’obéissance. Nous voyons bien l’excessive uniformité, l’outrancière codification vers laquelle glisse subrepticement notre société qui fera demain obstacle à la responsabilité de chacun, à la libre conscience.
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Une lettre de Georgina Dufoix du 25 juin 2013
Chers amis,
Qui aurait pu croire, il y a un an seulement, que nous aurions à défendre le mariage, le couple, l'altérité homme/femme, les fondements de la filiation, le rôle éducatif des parents, la force de la famille ? Qui aurait pu croire que nous verrions des millions de personnes venir manifester à Paris quatre fois depuis 6 mois ? Qui aurait pu croire que lèveraient de nouveaux leaders charismatiques et déterminés ?
Si l'on m'avait dit cela, je crois que je ne l'aurai pas cru... mais le mariage "pour tous " est passé par là !
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