• En conclusion du Grenelle de la famille, samedi 8 mars à la Mutualité à Paris, le philosophe Fabrice Hadjadj est venu éclairer cette question si simple, que chacun ressasse depuis le début du débat sur le mariage pour tous. Trente minutes d’exposé qui ont saisi l’auditoire, après dix-huit mois de manifestations pour scander que l’on est tous nés d’un homme et d’une femme, avec l’impression tenace d’enfoncer des portes ouvertes.

    La vidéo et le texte peuvent être retrouvés sur le site Liberté Politique à l'adresse
    http://www.libertepolitique.com/Actualite/Liberte-politique-TV/Fabrice-Hadjadj-Qu-est-ce-qu-une-famille

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  • Raymond PfisterUne pensée de Raymond Pfister

    Célébration eucharistique ou culte d’adoration, à quoi bon ? Pourquoi aller au culte ou à la messe dominicale ?

    Pour rencontrer Dieu, être touché par Dieu et être béni par lui, répondront peut-être tout naturellement bon nombre de chrétiens pour qui cela leur paraît être une évidence. Mais qu’en est-il vraiment ?

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  • Eric LEMAÎTREUn texte d'Eric LEMAÎTRE

    Veilleur, Sentinelle, Guetteur, Bienveillant…,

    J’avais à cœur de vous écrire ces dimensions de l’engagement du chrétien dans son combat prophétique dans la cité des hommes.

    Face aux transformations d’une société qui radicalement viole les lois divines et amorce la refondation d’une nouvelles anthropologie païenne, plus que jamais le chrétien est interpellé dans son témoignage.

    Je réalise la nécessité pour nous chrétiens de ne pas être entraîné par la spirale de l’idéologie qui en réalité ne s’inscrira jamais dans la relation, la rencontre des autres.

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  • Un texte d'Alain LEDAIN

    Le livre de Monique de Hadjetlaché « Bien vieillir » paru aux Editions FAREL (© 2008) est la principale source d’inspiration de cet article. Je l’ai lu alors que je devais préparer un séminaire organisé à REIMS sur la famille par mon très cher ami et frère Eric Lemaître.

    ***

    Dans un article de 2011, je développai le thème "Construire notre identité en travaillant à notre sanctification". J'y montrai que Dieu sépare, différencie pour identifier :

    « 4 Dieu […] sépara la lumière des ténèbres. 5  Il appela la lumière : “jour” et les ténèbres : “nuit” [...] 6 Et Dieu dit : Qu’il y ait une étendue entre les eaux pour les séparer. [...] Dieu fit l’étendue. Il sépara les eaux d’en-dessous de l’étendue des eaux d’au-dessus. [...] 8 Dieu appela cette étendue : “ciel”  [...] 9 Et Dieu dit : Je veux que les eaux d’au-dessous du ciel se rassemblent en un seul endroit afin que la terre ferme paraisse [...] 10  Dieu appela “terre” la terre ferme, et “mer” l’amas des eaux… 14 Dieu dit : Qu’il y ait des luminaires dans l’étendue du ciel, pour séparer le jour d’avec la nuit ; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années »

    La formule « chacun selon son espèce » (ou « chacun selon leur espèce ») utilisée dans les versets suivants (11, 12, 21, 24 et 25) marque aussi la distinction.

    L’acte de création part du chaos indifférencié, informe – le tohu bohu – pour aller vers l’hétérogénéité où chaque élément prend sa place en se différenciant et en prenant une limite, une fonction, une identité propre.

    Le temps, lui aussi, nécessite d'accéder à la différence. C’est ce que nous allons montrer sur les plans personnel, familial et social.

    ***

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  • Pierre-Yves Gomez, économiste, directeur de l’Institut français de gouvernement des entreprises est également l'un des initiateurs du Courant pour une Ecologie Humaine. La vidéo ci-dessous révèle un chrétien authentique et engagé.

    Pierre-Yves a initié et développé les parcours Zachée...

     

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  • Un texte écrit par Alain LEDAIN
    Cliquer ici pour le télécharger au format PDF

    Il est inspiré du livre de Chantal DELSOL, Les pierres d’angles – A quoi tenons-nous ?, paru aux éditions du Cerf, © 2014

    « L’espérance est un risque à courir, c’est même le risque des risques. » Georges BERNANOS

    Aborder le thème de l’espérance peut sembler bien inapproprié dans une période de désillusion, de désenchantement, de désespérance. Il est vrai que les espérances politiques par exemple ont apporté, et apportent encore, bien des déceptions. Alors, par peur d’être de nouveau déçus, beaucoup de nos contemporains préfèrent mettre leur ardeur au service de petites affaires afin de se calmer des grandes[1] : La recherche du bien-être prévaut sur celle du Bien commun. C’est ainsi que l’on assiste au développement du matérialisme avec sa course effrénée au confort et à la sécurité.

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  • Un article d'Eric LEMAITRE

    Le texte au format PDF

    Zygmunt Bauman essayiste et sociologue a écrit un essai intitulé La vie liquide, un titre énigmatique nous en conviendrons. Le titre apparemment mystérieux est expliqué au fil des pages. Pour l’auteur, la vie liquide se caractérise à travers des êtres humains qui perdent tout repère, toute attache. Notre humanité selon l’essayiste est entrée dans un monde de confusion sans repères. Je cite l’essayiste : La spécificité essentielle de la société contemporaine est son caractère « liquide », c’est à dire : flexible, précaire, soumise à une évolution effrénée et perpétuelle, et dépourvue de « poteaux indicateurs » stables » solidement amarrés en quelque sorte, ou de phares susceptibles de guider les hommes en quête de vérité.

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  • Foule anonyme

    Un article d'Alain LEDAIN en complément de celui sur Babylone

    Babel, telle que nous la présente le texte de la genèse (Gn 11 : 1-9), se caractérise par l’uniformité : uniformité de la pensée (« une seule langue et les mêmes mots » ou « une même lèvre avec peu de mots »)  et uniformité des êtres : les briques sont à l’image des hommes qui composent la ville. Et là où il y a uniformité règne l’anonymat et une profonde solitude qui en découle.

    Quel contraste avec l’Eglise qui, tel le temple de Dieu, est formé de pierres, de pierres vivantes qui s’édifient « pour former une maison spirituelle » ! (1P 2 : 5)

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  • Un article écrit par Alain LEDAIN
    (Ci-contre, la tour de Babel vue par Pieter Bruegel l'Ancien au xvie siècle.)

    Le texte au format PDF

    Lors de mon intervention sur le thème du « combat du chrétien dans la cité des hommes », j’ai ressenti un décrochage de mon auditoire alors que je faisais référence à la chute de Babylone. Il est vrai que le dernier livre de la Bible reste assez méconnu. Il me fallait donc y revenir, y donner goût et me pencher plus particulièrement sur Babylone.

    Est inévitablement venue la question de sa construction aujourd’hui. Comment la repérer, ne pas y prendre part et en sortir. C’est l’objet de la dernière partie de cette étude fort modeste.

    ***

    Les combats que nous menons ont une dimension spirituelle : c'est ce que nous dévoile l'apôtre Jean dans l’Apocalypse. Deux cités s’opposent : la cité de Dieu qui manifeste le Christ et Babylone, la ville portée par la Bête (le Diable) et dont elle est le rêve… (Ap 17 : 3)

    Cette dernière, la Bible la décrit à la fois dans le livre de la Genèse et dans celui de la Révélation. « Babel » (en hébreu) et Babylone (en grec) désignent la même ville.

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