Alain LEDAIN - Partages, pensées, réflexions...
Quatrième de couverture L'aube des temps modernes, le début de la grande révolution économique, sociale, morale et religieuse qui a transformé l'Occident jusqu'à nos jours, c'est le XVIe siècle. Dans quelle mesure la Réformation a-t-elle été activée par les bouleversements économiques et sociaux ? Et quelles mutations radicales le calvinisme a-t-il à son tour apportées aux activités économiques ? Telles sont les grandes questions, essentielles pour la compréhension de notre temps, auxquelles l'auteur répond dans la première partie de cet ouvrage. La seconde est consacrée à l'étude de la doctrine de Calvin. Quelle est sa pensée sur la propriété, le travail, le salaire, le commerce, l'argent, le prêt à intérêt, la banque, la spéculation ? Quel rôle économique attribue-t-il à l'Etat et comment envisage-t-il la production, l'acquisition, la distribution et l'usage des richesses ? D'utiles comparaisons sont faites avec les doctrines économiques modernes et celles des principaux auteurs chrétiens. Un chapitre richement documenté est consacré à l'influence de Calvin sur le développement du capitalisme et de la société industrielle occidentale. |
Jean-Pierre GRABER est né en 1946. Docteur en sciences politiques et économiste, il siège au parlement de la République et canton de Neuchâtel (Suisse). A côté de sa charge d'enseignement, il se livre à des recherches sur les tendances lourdes qui menacent la survie des démocraties libérales de la Civilisation occidentale. Il y a un demi-siècle, la République de Weimar s'effondrait dans le chaos d'où allait émerger l'horreur nazie. Celle-ci vaincue, des millions d'hommes et de femmes vivent toujours dans les chaînes de la dictature ou du totalitarisme. Les sociétés occidentales, libres et opulentes, mais aussi en pleine crise, subiront-elles le même sort ? Il faut le craindre, parce qu'elles veulent de plus en plus ignorer l'avertissement de Rougemont: " La dictature n'exige d'imagination, il suffit de se laisser glisser." Le totalitarisme est plus proche de la nature humaine que la démocratie, institution fragile par excellence. Les libertés individuelles ne doivent leur existence et leur survie qu'à certaines valeurs, structures et conditions. Le drame est qu'aujourd'hui ces dernières s'effritent à un rythme accéléré sous l'effet de plusieurs évolutions sociales et culturelles de ces temps. En des pages denses, vigoureuses et lucides, Jean-Pierre GRABER décrit les processus et mécanismes qui risquent de mener les démocraties occidentales à de nouveaux totalitarismes, les pires peut-être que l'humanité aura jamais connus. |
Quatrième de couverture « Engagé durant vingt-cinq années dans l'accompagnement des jeunes, j'ai observé combien la question de l'identité masculine se pose avec toujours plus d'acuité. Les jeunes gens ignorent de quelle façon se conquiert une virilité authentique, en cohérence avec leur foi, sans tomber dans le machisme ni devenir inconsistants. La spiritualité chrétienne ordinairement proposée est souvent plus pacifiante qu'exigeante ; d'où la désaffection des hommes qui ne trouvent pas dans l'Église réponse à leur besoin de déployer leur énergie, leur créativité, pour changer le monde. Car être pleinement homme, c'est certes savoir aimer, mais c'est aussi savoir se battre, faire face. Ces hommes-là, l'Église d'aujourd'hui ne sait pas leur parler. J'écris ici à partir de ma propre masculinité et d'homme à homme, en m'appuyant sur dix-huit figures masculines de la Bible (Moïse, Jacob, Salomon, David, Paul, jean Baptiste, etc.). J'ai découvert l'intensité de l'énergie qui les habite : chacun va son chemin personnel et aucun n'est parfait au début de son parcours... Tout processus connaît des fautes et des erreurs. Pourtant ils marchent devant Dieu et en présence de Dieu. Ils sont sur le chemin exigeant de la virilité. » Anselm GRÜN |
![]() Résumé
Essai sur la féminisation des hommes, tendance actuelle dans notre société. L'auteure analyse les dégâts d'un tel comportement (perte de désir, société maternante...). Elle propose que les femmes trouvent d'autres solutions pour dépasser les codes actuels, qui sont strictement masculins, et pour redonner une identité aux deux sexes.
Quatrième de couverture
De nos jours, le «fémininement correct» est en passe de supplanter le «politiquement correct». Les hommes sont sommés d'exprimer leur «part féminine», ce qui provoque chez eux une crise identitaire et sociale dans tous leurs rôles : compagnons, pères et citoyens. Les dégâts sont considérables : perte de désir, déficit de loi, société maternante.
Quelle est l'origine de cette surprenante dérive ? Quels en sont les méfaits au sein du couple, de la famille, de la société en général et du monde du travail en particulier ? Et surtout, pour donner enfin aux femmes la place qui leur revient, y a-t-il d'autres solutions que cette féminisation insensée des hommes ou qu'une absurde régression vers d'anciens schémas obsolètes ?
Résumé Essai sur la féminisation des hommes, tendance actuelle dans notre société. L'auteure analyse les dégâts d'un tel comportement (perte de désir, société maternante...). Elle propose que les femmes trouvent d'autres solutions pour dépasser les codes actuels, qui sont strictement masculins, et pour redonner une identité aux deux sexes. De nos jours, le «fémininement correct» est en passe de supplanter le «politiquement correct». Les hommes sont sommés d'exprimer leur «part féminine», ce qui provoque chez eux une crise identitaire et sociale dans tous leurs rôles : compagnons, pères et citoyens. Les dégâts sont considérables : perte de désir, déficit de loi, société maternante. Quelle est l'origine de cette surprenante dérive ? Quels en sont les méfaits au sein du couple, de la famille, de la société en général et du monde du travail en particulier ? Et surtout, pour donner enfin aux femmes la place qui leur revient, y a-t-il d'autres solutions que cette féminisation insensée des hommes ou qu'une absurde régression vers d'anciens schémas obsolètes ? Avec son regard de psychanalyste, à la fois pertinent et impertinent et profondément novateur, Hélène Vecchiali remonte aux sources de nos comportements d'êtres sexués, et en particulier aux rapports différenciés des petits garçons et des petites filles à leur père et à leur mère. Ainsi soient-ils est un livre qui fourmille d'exemples concrets empruntés à des expériences personnelles, des faits de société, des contes, des films et des cas cliniques. Çà et là, la mythologie et l'étymologie éclairent de façon inattendue cet essai joyeusement iconoclaste. |
Hommes – Femmes : Quelle identité ? par college-des-bernardins
Quatrième de couverture On ne révolutionne pas la société sans révolulionner l'Église. Aujourd'hui, les chrétiens doivent porter la parole du Christ à partir d'un bon diagnostic et pour une vie véritablement saine. |
Quatrième de couverture L'écologie est aujourd'hui sur toutes les lèvres. Elle modèle idées et comportements, jusqu'à remettre en cause la société occidentale. Selon les libéraux, elle est utopique et catastrophiste ; selon les décideurs économiques, ses analyses sont infondées et ses projets peu viables. Son voisinage avec la résistance altermondialiste et tiers-mondiste la fait aussi passer pour un avatar du gauchisme, et l'éloigné de la gauche modérée. Et pourtant l'écologie gagne du terrain, par-delà les idéologies et les clivages partisans. |
Quatrième de couverture Li Chunmei, une Chinoise de 19 ans, est morte après avoir travaillé sans interruption 16 heures par jour pendant 60 jours d'affilée, à fabriquer des peluches pour les enfants des pays « développés ». Nous achetons. Ils meurent. Y a-t-il une relation entre les deux ? Le « libre marché » rend-il vraiment libre ? Le rasoir à 5 lames évince le rasoir à 4,3 ou 2 lames : quelle est la signification spirituelle de la culture de consommation ? Comment vivre dans un monde globalisé aux ressources dites rares ? Exemples concrets à l'appui, William Cavanaugh décrypte les notions-clé de l'économie moderne et développe une vision de la vie quotidienne en faisant appel aux ressources chrétiennes - saint Augustin et l'eucharistie. Cet essai brillant bouleverse les catégories habituelles, libérales ou étatistes. Face aux pathologies du désir, il invite à créer des espaces économiques alternatifs où les pratiques sont pleinement libres. Commerce équitable, économie de communion, coopératives de producteurs-consommateurs, microcrédit solidaire : une autre économie est déjà commencée. |
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Crise écologique, crise économique, crise alimentaire… Peut-on encore parler de développement ? Peut-on encore viser la croissance ? Ce petit livre pédagogique et pratique entend mettre ce débat à la portée de tous. Au-delà de la croissance et de la décroissance, comment penser le mieux vivre ensemble ? Toutes les dimensions de la vie humaine et sociale sont sollicitées : économique, sociale, politique, culturelle, sans oublier la dimension spirituelle. Et en particulier la foi chrétienne. |