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Alain LEDAIN - Partages, pensées, réflexions...

Sources utilisées par Alain LEDAIN - 1 -

Confusion des valeurs - Jean-Claude GUILLEBAUD

Quatrième de couverture

En moins de trois décennies, que nous est-il arrivé ? Comment mesurer tous les bouleversements intervenus dans le domaine des valeurs, de la science, de l'économie, des religions, de la politique, sans éprouver une sorte de tournis ? Comment ne pas être perdu dans cette confusion générale, dans ce monde où s'entrechoquent idéaux, cultures ou opinions ?

Jean-Claude Guillebaud nous aide à arpenter cette modernité foisonnante, pleine d'incertitudes et de surprises. Bien plus, il introduit un questionnement où l'homme garde toute sa place. Faut-il se résigner au cynisme de l'économie libérale, à la violence qui marque nos sociétés ? Globalisation rime-t-elle avec choc des civilisations ? À l'heure du clonage ou de l'indifférenciation des sexes, quelle place pour la personne ? Et que dire de Dieu, à l'heure de la mondialisation du religieux ?

 

La pensée économique et sociale de Jean Calvin

Quatrième de couverture

L'aube des temps modernes, le début de la grande révolution économique, sociale, morale et religieuse qui a transformé l'Occident jusqu'à nos jours, c'est le XVIe siècle. Dans quelle mesure la Réformation a-t-elle été activée par les bouleversements économiques et sociaux ? Et quelles mutations radicales le calvinisme a-t-il à son tour apportées aux activités économiques ?

Telles sont les grandes questions, essentielles pour la compréhension de notre temps, auxquelles l'auteur répond dans la première partie de cet ouvrage. La seconde est consacrée à l'étude de la doctrine de Calvin. Quelle est sa pensée sur la propriété, le travail, le salaire, le commerce, l'argent, le prêt à intérêt, la banque, la spéculation ? Quel rôle économique attribue-t-il à l'Etat et comment envisage-t-il la production, l'acquisition, la distribution et l'usage des richesses ? D'utiles comparaisons sont faites avec les doctrines économiques modernes et celles des principaux auteurs chrétiens. Un chapitre richement documenté est consacré à l'influence de Calvin sur le développement du capitalisme et de la société industrielle occidentale.

 

Revue HOKHMA

 

Les périls totalitaires en Occident

Jean-Pierre GRABER est né en 1946. Docteur en sciences politiques et économiste, il siège au parlement de la République et canton de Neuchâtel (Suisse). A côté de sa charge d'enseignement, il se livre à des recherches sur les tendances lourdes qui menacent la survie des démocraties libérales de la Civilisation occidentale.

Il y a un demi-siècle, la République de Weimar s'effondrait dans le chaos d'où allait émerger l'horreur nazie. Celle-ci vaincue, des millions d'hommes et de femmes vivent toujours dans les chaînes de la dictature ou du totalitarisme. Les sociétés occidentales, libres et opulentes, mais aussi en pleine crise, subiront-elles le même sort ? Il faut le craindre, parce qu'elles veulent de plus en plus ignorer l'avertissement de Rougemont: " La dictature n'exige d'imagination, il suffit de se laisser glisser."

Le totalitarisme est plus proche de la nature humaine que la démocratie, institution fragile par excellence. Les libertés individuelles ne doivent leur existence et leur survie qu'à certaines valeurs, structures et conditions. Le drame est qu'aujourd'hui ces dernières s'effritent à un rythme accéléré sous l'effet de plusieurs évolutions sociales et culturelles de ces temps.

En des pages denses, vigoureuses et lucides, Jean-Pierre GRABER décrit les processus et mécanismes qui risquent de mener les démocraties occidentales à de nouveaux totalitarismes, les pires peut-être que l'humanité aura jamais connus.

 

L'identité masculine en question

Quatrième de couverture

« Engagé durant vingt-cinq années dans l'accompagnement des jeunes, j'ai observé combien la question de l'identité masculine se pose avec toujours plus d'acuité. Les jeunes gens ignorent de quelle façon se conquiert une virilité authentique, en cohérence avec leur foi, sans tomber dans le machisme ni devenir inconsistants. La spiritualité chrétienne ordinairement proposée est souvent plus pacifiante qu'exigeante ; d'où la désaffection des hommes qui ne trouvent pas dans l'Église réponse à leur besoin de déployer leur énergie, leur créativité, pour changer le monde. Car être pleinement homme, c'est certes savoir aimer, mais c'est aussi savoir se battre, faire face. Ces hommes-là, l'Église d'aujourd'hui ne sait pas leur parler.

J'écris ici à partir de ma propre masculinité et d'homme à homme, en m'appuyant sur dix-huit figures masculines de la Bible (Moïse, Jacob, Salomon, David, Paul, jean Baptiste, etc.). J'ai découvert l'intensité de l'énergie qui les habite : chacun va son chemin personnel et aucun n'est parfait au début de son parcours... Tout processus connaît des fautes et des erreurs. Pourtant ils marchent devant Dieu et en présence de Dieu. Ils sont sur le chemin exigeant de la virilité. »

Anselm GRÜN

 

Ainsi soient-ils - sans de vrais hommes, point de vraies femmes

Résumé
Essai sur la féminisation des hommes, tendance actuelle dans notre société. L'auteure analyse les dégâts d'un tel comportement (perte de désir, société maternante...). Elle propose que les femmes trouvent d'autres solutions pour dépasser les codes actuels, qui sont strictement masculins, et pour redonner une identité aux deux sexes.
Quatrième de couverture
De nos jours, le «fémininement correct» est en passe de supplanter le «politiquement correct». Les hommes sont sommés d'exprimer leur «part féminine», ce qui provoque chez eux une crise identitaire et sociale dans tous leurs rôles : compagnons, pères et citoyens. Les dégâts sont considérables : perte de désir, déficit de loi, société maternante.
Quelle est l'origine de cette surprenante dérive ? Quels en sont les méfaits au sein du couple, de la famille, de la société en général et du monde du travail en particulier ? Et surtout, pour donner enfin aux femmes la place qui leur revient, y a-t-il d'autres solutions que cette féminisation insensée des hommes ou qu'une absurde régression vers d'anciens schémas obsolètes ?

Résumé

Essai sur la féminisation des hommes, tendance actuelle dans notre société. L'auteure analyse les dégâts d'un tel comportement (perte de désir, société maternante...). Elle propose que les femmes trouvent d'autres solutions pour dépasser les codes actuels, qui sont strictement masculins, et pour redonner une identité aux deux sexes.

Quatrième de couverture

De nos jours, le «fémininement correct» est en passe de supplanter le «politiquement correct». Les hommes sont sommés d'exprimer leur «part féminine», ce qui provoque chez eux une crise identitaire et sociale dans tous leurs rôles : compagnons, pères et citoyens. Les dégâts sont considérables : perte de désir, déficit de loi, société maternante.

Quelle est l'origine de cette surprenante dérive ? Quels en sont les méfaits au sein du couple, de la famille, de la société en général et du monde du travail en particulier ? Et surtout, pour donner enfin aux femmes la place qui leur revient, y a-t-il d'autres solutions que cette féminisation insensée des hommes ou qu'une absurde régression vers d'anciens schémas obsolètes ?

Avec son regard de psychanalyste, à la fois pertinent et impertinent et profondément novateur, Hélène Vecchiali remonte aux sources de nos comportements d'êtres sexués, et en particulier aux rapports différenciés des petits garçons et des petites filles à leur père et à leur mère. Ainsi soient-ils est un livre qui fourmille d'exemples concrets empruntés à des expériences personnelles, des faits de société, des contes, des films et des cas cliniques. Çà et là, la mythologie et l'étymologie éclairent de façon inattendue cet essai joyeusement iconoclaste.

Conférence au Collège des Bernardins : Hommes - Femmes : quelle identité ?
(Chantal DELSOL / Eric ZEMMOUR)


Hommes – Femmes : Quelle identité ? par college-des-bernardins

 

Pour un Christ Vert

Quatrième de couverture

On ne révolutionne pas la société sans révolulionner l'Église. Aujourd'hui, les chrétiens doivent porter la parole du Christ à partir d'un bon diagnostic et pour une vie véritablement saine.

Le mal, c'est un totalitarisme de l'argent qui engendre une société de prédation et de consommation. Le remède, c'est une nouvelle cité sobre qui permet à la paix et à la louange de s'épanouir. Pour un Christ vert ne propose pas une écologie bucolique niais une spiritualité de la création, respectueuse de la dimension cosmique du salut.

 

Ecologie

Quatrième de couverture

L'écologie est aujourd'hui sur toutes les lèvres. Elle modèle idées et comportements, jusqu'à remettre en cause la société occidentale. Selon les libéraux, elle est utopique et catastrophiste ; selon les décideurs économiques, ses analyses sont infondées et ses projets peu viables. Son voisinage avec la résistance altermondialiste et tiers-mondiste la fait aussi passer pour un avatar du gauchisme, et l'éloigné de la gauche modérée. Et pourtant l'écologie gagne du terrain, par-delà les idéologies et les clivages partisans.

Partant des origines véritables de l'écologie, de ses sources scientifiques, de ses raisons d'être, de ses urgences et de ses tendances, Patrice de Plunkett éclaire nos préoccupations d'aujourd'hui. De façon inédite et salutaire, il met aussi en lumière les rapports entre l'écologie et le christianisme, fondateur de notre civilisation : la Bible est-elle coupable de tout, comme l'affirment certains, elle qui par la bouche de Dieu appelle l'homme à « dominer » voire à « soumettre » le reste de la biosphère ?

À l'heure de la mondialisation de tous les enjeux, cette enquête de fond jette sur l'écologie un regard à la fois clair, neuf et décomplexé.

 

Etre consommé

Quatrième de couverture

Li Chunmei, une Chinoise de 19 ans, est morte après avoir travaillé sans interruption 16 heures par jour pendant 60 jours d'affilée, à fabriquer des peluches pour les enfants des pays « développés ». Nous achetons. Ils meurent. Y a-t-il une relation entre les deux ? Le « libre marché » rend-il vraiment libre ?

Le rasoir à 5 lames évince le rasoir à 4,3 ou 2 lames : quelle est la signification spirituelle de la culture de consommation ? Comment vivre dans un monde globalisé aux ressources dites rares ?

Exemples concrets à l'appui, William Cavanaugh décrypte les notions-clé de l'économie moderne et développe une vision de la vie quotidienne en faisant appel aux ressources chrétiennes - saint Augustin et l'eucharistie. Cet essai brillant bouleverse les catégories habituelles, libérales ou étatistes. Face aux pathologies du désir, il invite à créer des espaces économiques alternatifs où les pratiques sont pleinement libres. Commerce équitable, économie de communion, coopératives de producteurs-consommateurs, microcrédit solidaire : une autre économie est déjà commencée.

Quatrième de couverture

La notion aujourd'hui largement répandue de " développement durable " ne se réduit pas à la gestion frileuse de notre environnement. Elle comprend un volet social essentiel : pour que notre monde soit durable, il faut aussi, et peut être avant tout, qu'il soit plus équitable. En réalité, notre monde est menacé. Face aux désordres de toute nature que l'activité humaine a introduit dans son éco-système tout comme dans la gestion des conflits qui en découlent ou qui sont liés à l'injustice mondiale, c'est un modèle de civilisation qu'il nous faut inventer. Un modèle où le dialogue et la participation sont les maîtres mots. Celui-ci existe d'ailleurs déjà à l'état embryonnaire. A nous de le promouvoir. C'est à avancer dans cette voie que se sont attachés les 3000 participants de la session des Semaines sociales qui s'est tenue à Paris en novembre 2007. La proximité du " Grenelle de l'environnement " a permis à cet événement de se situer dans l'actualité et aux Semaines sociales de faire entendre leur différence.

 Oser un nouveau développement - Un livre à lire : http://www.justice-paix.cef.fr/Oser-un-nouveau-developpement.html

Crise écologique, crise économique, crise alimentaire… Peut-on encore parler de développement ? Peut-on encore viser la croissance ?

Ce petit livre pédagogique et pratique entend mettre ce débat à la portée de tous. Au-delà de la croissance et de la décroissance, comment penser le mieux vivre ensemble ? Toutes les dimensions de la vie humaine et sociale sont sollicitées : économique, sociale, politique, culturelle, sans oublier la dimension spirituelle. Et en particulier la foi chrétienne.
Un livre qui n'a pas la solution... mais donne des clés précieuses pour participer à l'invention d'un nouveau mode de vie, et des pratiques concrètes pour le mettre en oeuvre.

Suite de mes lectures : cliquez ici Ressources utilisées

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